L’univers Star Wars
Vous souhaitez en savoir plus sur l’univers Star Wars dans lequel s’inscrit notre discipline et nos spectacles ?
Note : aja63.fr n’est pas un site spécialisé, nous ne faisons qu’une présentation basique de l’univers. Si vous souhaitez en savoir plus vous pouvez vous rendre sur des sites spécialisés tel que starwars-holonet.com .
1. Chronologie
Introduction
Vous trouverez dans ce dépliant une chronologie parcellaire de l’Univers Star wars allant de -25000 avant la bataille de Yavin à 35 après la Bataille de Yavin (point étant défini comme étant l’an 0).
Les aventures des personnages que l’on raconte dans l’Académie des Jedi Auvergnats s’inscrivent pendant la période Draggulch.
Ces personnages sont une pure fiction et n’ont pas existé dans l’univers Star wars, comme cette période qui est encore classée « légende ».
L’histoire
La Période Draggulch s’étendit sur un millénaire. Elle débuta en -2000 lors du Quatrième Grand Schisme de l’Ordre Jedi provoqué par le Chevalier Jedi Phanius et se termina en -1000, après la défaite de la Confrérie des Ténèbres lors de la septième Bataille de Ruusan.
Phanius renia son nom d’origine, et fut renommé Dark Ruin. Il forma son nouvel Empire Sith sur des bases de tous bords comme d’anciens Jedi sensibles à sa cause, plusieurs sectes vouant des cultes au coté obscur ainsi que divers utilisateurs de la Force laissés à l’abandon par les Jedi. Ces derniers entendirent parler des agissements de leur ancien congénère, ce qui causa le début du quatrième grand schisme de la Force, et le début d’un millénaire de guerres entre Jedi et Sith.
2. L’Ancienne République Galactique (-2500 à -1000)
Le gouvernement galactique
Le premier gouvernement galactique est apparut aux alentours de -25.000, et installa sa capitale sur Coruscant dans le Noyau, capitale qui le resterait jusqu’à la fin de la République. A l’origine, vingt-deux mondes constituaient le Noyau Fondateur de la République.
À cette démocratie naissante s’ajouta L’Ordre Jedi.
L’empire Sith
L’une des plus grandes menaces à laquelle la République fut confrontée durant ces temps reculés fut l’émergence des Sith, une faction dissidente de l’Ordre Jedi, dont les adeptes étaient de fervents pratiquant du Côté Obscur. Suite au premier schisme au sein de l’Ordre Jedi, les Sith formèrent un Empire et livrèrent de nombreuses batailles contre les Jedi et la République.
Les autres menaces
L’Empire Sith que les Jedi combattirent pendant près de quatre mille ans ne fut pas l’unique menace à laquelle l’Ancienne République fut confrontée. En effet, le gouvernement démocratique, qui s’était opposé ouvertement à l’esclavagisme, dut faire face à l’Empire Zygerrien. À ces esclavagistes s’ajoutérent les redoutables Mandaloriens, guerriers conquérants auxquels les Jedi furent confrontés à de nombreuses reprises.
En savoir plus
La République Galactique était le plus long gouvernement qu’avait connu la galaxie, couvrant près de vingt-cing mille ans d’histoire, de batailles et de découvertes.
Plusieurs périodes se succédèrent, correspondant sux différents moments clés qui structurèrent ce gouvernement, qui rassembla à son apogée des milliers de mondes su sein d’une même assemblée. La République Galactique, dont l’histoire était intimement liée & celle des Jedi, mourut des mains de Dark Sidious, qui la transtorma en Empire & la fin de la Guerre des Clones.
La guerre contre les Sith s’acheva & la faveur de l’Ancienne République environ en -1.000, à la fois grâce a la supériorité des Jedi, mais surtout à cause des conflits internes qui rongeaient les Sith, incapables de se structurer, car chaque individu cherchait à s’élever su-dessus des autres. Dark Bane mit ainsi fin & l’Ordre Sith tel qu’il était né de l’Ordre Jedi, et instaura la Règle des Deux: Pendant près de mille ans, on n’entendit plus parler des Sith, et l’Ancienne République laissa sa place à la République Galactique moderne.
L’accomplissement le plus marquant de ce régime renouvelé après des milliers d’années de guerres épuisantes fut la création du Sénat Galactique sur Coruscant.

3. L’Ordre Jedi et sa hiérarchie
Les rangs Jedi
Organisation très structurée, l’Ordre Jedi possédait une hiérarchie très stricte qui était fidèlement respectée par ses membres. Dans l’ordre hiérarchique, on avait ainsi :
Les titres honorifiques Jedi
Au-delà de ces rangs conventionnels, il existait plusieurs titres honorifiques destinés aux membres les plus éminents :

4. L’ordre Sith et ses castes
Introduction
Les castes Sith structuraient l’organisation de la société puis de l’Ordre Sith à travers les millénaires.
Le peuple Sith s’organisait selon une hiérarchie particulière. On appelait cela des castes. Il en existait de nombreuses sortes, aux rôles spécifiques et aux appellations différentes selon la période observée.
Aux environs de -4000 avBY, après la chute des Sith pendant la Grande Guerre de l’Hyperespace, les Sith revinrent sous la forme d’un Ordre.
Les rangs Sith
Les rangs dans l’empire
L’évolution
Les Nouvelles Guerres Sith modifia la structure établie pour fonder la Confrérie des Ténèbres.
A la fin de la Confrérie, Dark Bane instaura la règle des Deux : un Maitre et un apprenti (et des acolytes).

5. Combat au sabre laser
Introduction
L’enseignement du maniement du sabre laser, l’arme de prédilection des Chevaliers Jedi pendant 10 000 ans, est synthétisé en une douzaine de formes d’arts Jedi.
Il est important de noter que les données concernant les combats au sabre laser sont extrêmement nombreuses et versatiles. Ainsi, la nomenclature même des formes ont connut plusieurs versions. Nous avons retenu ici la plus récente, datée du tournage de l’Episode III, et dont l’étude est fondée sur des notes de George Lucas lui-même à l’intention de Nick Gillard et des acteurs, lisibles dans les archives du Skywalker Ranch, et dans certaines novélisations ou articles. Les informations complémentaires viennent essentiellement de l’étude des films.
Forme I, Shii Cho : forme de Détermination
Première des formes primordiales, et ses bases sont considérées comme les fondements du maniement du sabre laser à enseigner au jeune apprenti Inspiré de l’utilisation de différentes armes blanches, le Shi Cho permet la pratique d’une escrime régulière et variée fondée sur des coups uniques, rapides, pouvant facilement être répétés, et quelques bottes codifiées difficiles à parer. Les bras sont très mobiles, les attaques physiques fréquentes, le sabre porte des coups amples et précis.
Forme II, Makashi : forme d’Opposition
Le Makashi est la deuxième des formes primordiales, mais elle est généralement l’une des dernières enseignées. La philosophie de la Forme Il est celle d’un style de duel ancien : vaincre l’adversaire par l’habileté et non par la violence, faire preuve de noblesse, de subtilité et d’élégance.
Style de combat au sabre laser conçu pour les duels. L’essentiel de la Forme Il tient dans des mouvements de la main, du poignet et du bras: fluidité, dextérité et précision du geste.
Forme III, Soresu : forme de Protection
Le Soresu est la troisième des formes primordiales, mais elle est généralement, chez les Jedi, la deuxième enseignée.
Style défensif par excellence, conçu presque exclusivement pour combattre des ennemis équipés d’armes à feu, idéal pour le renvoi des tirs de blaster. Le Soresu, assez fixe, à la lame proche du corps mais très mobile, est peu adapté à la contre-attaque car il nécessite une garde et une concentration constantes.
Forme IV, Ataru : forme de Vélocité
Il s’agit d’un style de combat fondé sur la vitesse, dont les multiples mouvements ont pour but de déstabiliser l’adversaire et de l’attaquer en court-circuitant ses défenses, elle implique un investissement physique et mental très poussé. Par des sauts, des rotations ou des déplacements intenses, l’ensemble du corps porte et accompagne des attaques rapides et surprenantes.
Style de combat vif et acrobatique, d’une grande mobilité.
Forme V, Djem So: forme de Persévérance
Le Djem So est la cinquième des formes primordiales, mais est généralement enseignée en troisième. Ce style conçu pour tous les types de combat est la contrepartie offensive de la Forme III, avec laquelle il se combine très bien ; stratégie offensive, focalisation et enchaînement d’attaques directes, peu de feintes.
Le corps a une attitude mobile, centrée sur l’attaque de l’adversaire, les bras accompagnent le sabre et lui donnent puissance et précision. Le Djem So utilise des attaques uniques puissantes, des parades coupées et des enchaînements tournoyants dont le but est d’être sans cesse en phase offensive.
Forme VI, Niman : forme de Diplomatie
Le Niman est la première des formes secondaires, et il est issu de la combinaison et de la « sublimation » du Shii Cho, du Soresu et du Djem So. Le Niman est intimement lié à l’éthique Jedi de l’Ancienne République: respect de l’adversaire, fluidité et élégance, efficacité sans violence.
La Forme VI, essentiellement défensive, a notamment pour caractéristiques des attaques souples, fluides et peu agressives, presque toujours indirectes, ainsi que de nombreuses parades dont le but est d’inciter l’adversaire à ne pas combattre.
Forme VII, Juyo : forme de Suprèmatie
L’apprentissage du Juyo nécessite la connaissance des principales techniques de la Forme I et l’utilisation du côté obscur de la Force.
Cette Forme est une déformation obscure du Vaapad, copiée par les Sith pendant les Guerres de la Force. Cette art est une philosophie Sith.
Le Juyo possède une immense capacité de corruption passive. Conçu pour canaliser une volonté de domination et de destruction, ce style facilite – et nécessite – la montée d’incontrôlables sentiments obscurs.
Vaapad: forme de Domination
Le Vaapad est la deuxième des formes secondaires. Cette forme est aussi délicate qu’ambiguë : jugeant le Makashi trop fixe et trop sobre, trop contraignant et trop « timoré », certains Jedi créèrent à la fin des Guerres de la Force un style de duel fondé sur l’imprévisibilité et la mise en pratique de la méditation de combat.
Toute la subtilité du Vaapad est d’utiliser des émotions pour manier le sabre sans perdre le contrôle de soi. La philosophie de ce style, peu explicite, se fonde sur le dépassement de soi, l’habileté à contrer les défenses de l’adversaire et à utiliser la surprise pour vaincre.
La Forme VII implique de grandes lacunes de défense pour son utilisateur, et nécessite une endurance, une attention et une tension difficiles à assumer. La pratique de ce style requiert un grand effort tant physique que mental, et une certaine disposition d’esprit.
Forme VIII, Sokan : forme de Mobilité
Le Sokan est la troisième des formes secondaires. Cette forme aux origines anciennes fut d’abord la première adaptation de l’Ataru par les Humains, qui n’avaient à l’époque pas les capacités physiques pour utiliser pleinement la Forme IV originelle. Mobilité, évasion, inscription du combat dans l’espace en sont les points principaux.
La Forme VIII est une concrétisation « spatiale’ de la Forme IV, moins agressive, plus lente et plus mobile, de plus grande amplitude et plus puissante.
Forme IX, Shien So : forme de Précision
Le Shien So ou Shien est la quatrième des formes secondaires. Dérivée du Djem So, elle est moins agressive et plus délicate. Le sabre se tient pointé vers l’adversaire, les postures sont tendues et l’attitude est à la fois patiente et menaçante : le Shien So est d’abord destiné à faire hésiter l’adversaire.
Les parades, précises, se font par nécessité, et les défenses coupées sont suivies d’attaques d’estoc ou de taille, horizontales et diagonales, de coups vifs et précis.
Jar Kai: maniement de deux sabres laser
Le Jar Kai est une des deux formes tertiaires. Cette forme regroupe l’ensemble des techniques de maniement de deux sabres laser. Elle nécessite une excellente coordination.
Le Jar Kai est un style complexe et assez polyvalent, aux mouvements nombreux et rapides; les attaques sont rarement puissantes et cette forme compte essentiellement sur la multiplicité et l’imprévisibilité des coups. Les deux lames étant indépendantes, l’utilisateur peut les faire agir différemment, mais les techniques en soi sont variables, car on associe généralement au Jar Kai un ou plusieurs autres styles.
Cette forme est compatible avec toutes les formes primordiales et secondaires, sauf le Makashi dont le code contraignant exige deux mains pour un seul sabre.
Maniement d’un double sabre laser
Le combat au double sabre laser est une des deux formes tertiaires. Cette forme regroupe l’ensemble des techniques de maniement du double sabre laser ; il s’agit d’une forme dangereuse car elle nécessite une excellente coordination.
Il s’agit d’un style complexe, peut-être moins polyvalent que le Jar’Kai, mais plus physique et plus puissant. Le sabre se maniant comme un bâton de combat à deux lames liées, il permet des enchaînements très réactifs.
De même que pour le Jar’Kai, le combat au double sabre laser est compatible avec toutes les formes primordiales et secondaires, sauf le Makashi.
Trakata : forme combinée de sabre et de pouvoirs
Le Tràkata est la seule véritable forme quaternaire et représente une forme de maniement du sabre à part entière, bien qu’elle est souvent combinée à une autre forme pour gagner en spécificité. Le Trakata est un style particulier qui vise à associer des techniques de maniement du sabre à l’utilisation de pouvoirs de la Force. Le Trakata permet aussi de faire intervenir d’autres objets dans le combat.
Si le Tràkata se pratique seul (sous sa forme épurée), il consiste à combattre sans dégainer le sabre : le Jedi (les Sith utilisent peu cette technique) doit éviter ou repousser les attaques adverses, par des sauts, des pouvoirs physiques ou préhensifs, etc. et si l’adversaire doit être neutralisé, les techniques de Trakata consistent à le désarmer ou l’immobiliser grâce à la Force.
Dun Möch : forme Sith combinée de sabre et de pouvoirs
Le Dun Möch est dérivé du Trakata et ne représente pas vraiment une forme de maniement du sabre a part entière. Cette forme, copie obscure du Trakata, plus agressive – et moins subtile, exprime la volonté agressive des Sith en combat : les techniques en sont les même que le Trakata, à ceci près qu’ici il s’agit d’être beaucoup plus offensif: les Sith utilisent le côté obscur pour déstabiliser et affaiblir l’adversaire.
Il est courant d’attaquer en transformant des objets de l’environnement en dangereux projectiles; des pouvoirs offensifs comme la Foudre sont utilisés et peuvent même être couplés à des attaques de sabre. Le Dun Möch peut également s’accompagner de railleries destinées à perturber l’adversaire et de techniques de peur et de domination psychologique.

6. La couleur des sabres laser
Introduction
Les sabres laser peuvent avoir plusieurs couleurs, dès plus classique vers et bleu Jedi et rouge Sith, à des plus spécifique comme le violet de Mace Windu, le jaune des gardiens du temple Jedi, blanc d’Ahsoka ou même le célèbre sabre noir des Mandalorien.
Ici vous pourrez comprendre la signification de chaque couleurs :
Les couleurs Jedi
Les couleurs Sith
Au-delà des Couleurs Canoniques
L’univers étendu de la galaxie offre une richesse de nuances et de significations.
Des couleurs comme le sarcelle, le bronze, l’argent et l’or ont été explorées dans divers récits, chacune ajoutant une nouvelle couche au nuancier galactique.
